Rocher du Caro : ma traduction

Pour le concours du Rocher du Caro, voici la traduction que j’ai proposée. Je l’ai déposée sous mon patronyme en date du 02/06/2019.

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A mon grand-père maternel, Jacques Le Goffic, né le 2 juin 1925, originaire de Vieux-Marché dans les Côtes d’Armor, bretonnant ;

Apparenté à Charles Le Goffic, né le 14 juillet 1863 à Lannion, poète, romancier et critique littéraire, sociétaire de l’Académie Française en 1930, et grand défenseur de la langue bretonne.

Croissy-sur-Seine, le 2 juin 2019.

Concours du Rocher du Caro, ma traduction : portrait de mon ancêtre, Charles LE GOFFIC / PARIS 3 Juin 1931" Photo originale G.DEVRED
Charles le Goffic
Source Wikipédia.

La méthode par translittération

Je reprends ci-après la table des matières du document PDF téléchargeable en la simplifiant pour une meilleure navigabilité. Je conseille vivement de ne pas oublier l’introduction qui précise le formalisme et la notation employées. L’épigraphie induit une méthode de travail rigoureuse et une codification, notamment des lacunes. Mais permet aussi d’envisager plusieurs scénarios donc plusieurs traductions possibles.

Pour cela, je ne considère pas la seule inscription du rocher comme source mais aussi les relevés (ou facsimilés), ayant été réalisés par le passé. Car ils témoignent d’autres états de l’inscription susceptibles d’apporter un éclairage sur une lacune, ou un ajout, plus récent.

Le lecteur notera aussi la production des facsimilés peut être entachée d’erreurs lorsque ceux-ci ne sont pas réalisés par des moyens numériques mais consiste à produire des relevés manuellement. Ainsi, j’ai donc commencé par recenser toutes les sources pour les recontextualiser. De leurs différences ressortent des recoupements autorisant de meilleures appréciations, une lacune dans une source pouvant être compensée par une autre.

Je propose donc ainsi une reconstruction du texte en utilisant la méthode de la translittération :

La translittération est l’opération qui consiste à substituer à chaque graphème d’un système d’écriture un graphème ou un groupe de graphèmes d’un autre système, indépendamment de la prononciation. Elle dépend donc du système d’écriture cible, mais pas de la langue source. (Source Wikipedia).

Table des matières

  1. Introduction
    • Objet
    • Eléments de contexte et sources externes
    • Formalisme et notation employés : la translittération pour méthode d’analyse
  2. Etude du support
    • Structure des supports
    • Dénombrement des textes
    • Les relevés publiés en 1984 et 2019 : les sources S1 et S2
  3. Traductions
  4. Annexes

Concernant les dictionnaires, j’ai utilisé le Meurgorf en ligne, et dans une moindre mesure le Gonidec. Ainsi que d’autres références grammaticales accessibles par Internet.

Enfin pour les annexes, celles-ci sont essentiellement fournies par le Service hydrographique et océanographique de la Marine (Shom), organisme qui fournit notamment les horaires des marées en ligne.

Pour des raisons pratiques, je ne me suis pas rendu au Rocher du Caro, la traduction ne nécessitant pas cette démarche.